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Paroles

 
 
 

 
 
 
Rien n'est comme avant 
 
 
Ecouter le ciel 
Sensible à ses âmes qui dansent 
Qui font que nos vies avancent 
 
Même si tout s’enfuit 
Chercher l’essentiel 
Voir l’ombre de ceux qui manquent 
Continuer comme ça vous chante 
 
Même si tout s’enfuit  
Tournent les anges 
Quand tout ce mélange 
Quand on ferme les yeux 
 
{Refrain:} 
Mais rien n’est comme avant 
Toujours la vie reprend 
Tout ce qu’elle a donné 
Tout ceux qu’on a aimé tellement 
Mais rien n’est comme avant 
L’absence nous apprend 
Tout ceux qu’on a aimé 
Continuent d’exister 
Mais pas comme avant 
 
Espèrer le sel 
De la vie sur l’existence 
Au delà de nos souffrances 
Même si tout d’enfuit 
Tournent les anges 
Quand tout ce mélange 
Quand on ferme les yeux 
 
{Refrain:} 
 
En amour on attend 
De se retrouver là-bas 
Pour un jour un instant 
Se retrouver dans leurs bras 
 
{Refrain:} 
 
 
 
Méfie toi de moi 
 
 
Méfie-toi des blessures  
Que l'on ne guérit pas  
De mes mains qui rassurent  
Mais ont eu tellement froid  
Méfie-toi de ma peau  
Elle se souvient de tout  
De ce qui est trop beau  
Et n'appartient qu'aux fous  
 
Méfie-toi du passé  
De sa mémoire immense  
De ce qu'on croit caché  
Quand la vérité danse  
Méfie-toi de mes peurs  
Qui reviennent parfois  
Méfie-toi du bonheur  
Souvent il n'attend pas  
 
Méfie-toi de moi  
Car parfois ça m'abîme  
Tant de fois  
Comme si c'était un cri  
 
{Refrain :}  
Et même si je t'aime  
Plus que tout  
Méfie-toi de ces chaînes  
Que l'on se met au cou  
Et même si je t'aime  
Plus que moi  
Méfie-toi de ma peine  
Et du temps qui s'en va  
Méfie-toi de moi  
 
Méfie-toi des blessures  
Que l'on ne guérit pas  
De mes mains qui rassurent  
Mais ont eu tellement froid  
Méfie-toi de ma peau  
Elle se souvient de tout  
De ce qui est trop beau  
Et n'appartient qu'aux fous  
 
Méfie-toi de moi  
Je me fais tant de mal  
Tant de fois  
De chagrins abyssaux  
 
{Refrain (x 2) }  
 
Méfie-toi de moi  
 
Méfie-toi des blessures  
Que l'on ne guérit pas  
De mes mains qui rassurent  
Mais ont eu tellement froid  
Méfie-toi de ma peau  
Elle se souvient de tout  
De ce qui est trop beau  
Et n'appartient qu'aux fous  
 
{Refrain}  
 
Méfie-toi de moi  
 
Et même si je t'aime  
Plus que moi  
Méfie-toi de ma peine  
Et du temps qui s'en va  
 
Méfie-toi de moi... 
 
 
 
Tu ne seras jamais libre 
 
 
Ces petits mots doux laissés dans la cuisine 
Comme des indices d’amour, 
De tout petits signes 
Qu’on ne voit pas, hum hum hum 
 
Le quotidien tel que je l’imagine 
Le parfum lourd de l’amour qui décline 
Oublie-moi 
Si ton cœur ne sait pas 
 
Tu ne seras jamais libre 
Si tu gardes en toi la peur d’aimer 
Tu ne pourras jamais vivre  
Sans oublier 
 
Ces petits gestes que l’on partageait 
Qui comblaient tes silences et leurs secrets 
Tu ne savais pas 
Qu’un beau jour, tout disparaît 
 
Tous ces instants de nous que tu défais 
Ce passé 
Qui s’accroche entre toi et moi 
Pour nous effacer… 
 
Tu n’seras jamais libre 
Tu gardes en toi la peur d’aimer 
Tu ne pourras jamais vivre 
Sans oublier 
 
Et je ne peux pas vivre 
Près de toi j’ai peur d’aimer 
J’apprendrais pour être libre 
A t’oublier 
 
Quand l’amour s’en va 
Et se meurt à petit feu 
Qui faut-il que je sois 
Pour que tu ouvres les yeux 
En nous laissant exister 
 
Tu ne seras jamais libre 
Si tu gardes en toi la peur d’aimer 
Tu ne pourras jamais vivre  
Sans oublier 
 
Et je ne sais pas vivre 
Près de toi j’ai peur d’aimer 
J’apprends pour être libre  
A t’oublier 
 
Ces petits mots doux laissés dans la cuisine 
Comme des indices d’amour, 
De tout petits signes 
Qu’on ne voit pas, hum hum hum 
 
 
 
Quel est ton nom? 
 
 
C’est comme une histoire 
Qu’on écrirait sans le savoir, 
Au fil des nuits 
 
C’est comme un repère 
Qu’on nous a laissé dans le noir 
Pour guider nos vies 
 
Sans toi je ne sais pas d’où viennent mes larmes 
J’ai cherché tant de fois la clé de nos âmes 
 
Et je me demande 
 
Quel est ton nom 
Quelle est la raison 
Qui nous emmène, et qui nous perd 
Entre la lumière et l’enfer 
 
Quel est ton nom 
Depuis que nous vivons 
Pour saisir enfin le mystère 
De nos vies tellement éphémères 
 
C’est comme une voix 
Que l’on entend quand on respire 
Et qui nous dit 
C’est comme une prière 
Qu’on offrirait sans se le dire 
A l’infini 
 
Sans toi je ne sais pas où nos vies nous mènent 
J’ai suivi tant de fois ces légendes anciennes 
 
Et je me demande 
 
Quel est ton nom 
Quelle est la raison 
Qu’ils ont gravé sur chaque pierre 
Avant de finir en poussière 
 
Quel est ton nom 
Quelle est la raison 
Qui nous emmène, et qui nous perd 
Entre la lumière et l’enfer 
 
 
 
 
Father 
 
 
Fermer ton histoire 
Dans la lueur d’un soir 
Et garder ta mémoire  
En nous 
 
Partir sans adieu 
Tellement loin de nos yeux 
On a vécu trop peu 
De tout 
 
Nos chemins se délassent 
Mais nous suivent toujours 
En bravant chaque trace 
D’amour 
 
Father 
Tu m’as laissé trop peu de temps 
Pour que je devienne ton enfant 
De cœur, pas de sang 
 
Father 
Tu es le père qui me manquait 
Tellement de mots restent muets 
Ce soir et dans mon cœur 
 
Tout redevient noir 
Je ne peux plus croire 
Qu’il reste ton regard 
En moi 
 
Les regrets me gagnent 
D’avoir perdu ta flamme 
Je t’envoie quelques larmes 
D’amour 
 
Entendras-tu les mots 
Que je n’ai pas su dire 
Ce silence de trop 
Eteint ma vie 
 
Father 
Tu m’as laissé trop peu de temps 
Pour que je devienne ton enfant 
De cœur, pas de sang 
 
Father  
Tu es le père que je cherchais 
Tellement de mots restent muets 
Ce soir et dans mon cœur 
Dans mon cœur, dans mon cœur 
 
Father 
On se retrouvera ailleurs, 
On se retrouvera ailleurs 
 
Father 
On se retrouvera ailleurs, 
On se retrouvera ailleurs… 
 
 
 
 
Femme 
 
 
Ses yeux  
Cherchent le ciel 
Le jour s’éveille 
Elle espère 
Que l’avenir s’éclaire 
 
Elle pleure 
Prête à toucher 
L’instant sacré 
De ses mains 
Adoucit le destin 
 
Femme 
Qui cherche l’éternel 
L’autre moitié du ciel 
Chaque flamme 
Porte le monde en elle 
 
Sans bruit, 
De sa douleur 
Naît la douceur 
Et le temps  
Devient si différent 
 
Un peu 
De son mystère 
Son cœur se serre 
Juste un cri 
Et commence une vie 
 
Femme 
Qui cherche l’éternel 
L’autre moitié du ciel 
Quand les femmes 
Porte le monde en elles 
 
Femme 
Qui cherche l’éternel 
L’autre moitié du ciel 
Chaque flamme 
Porte le monde en elle 
 
Chaque flamme 
Porte le monde en elle 
Porte le monde en elle 
 
 
 
 
On dort toujours tout seul 
 
 
Tombent les masques, un jour ou l’autre 
On ne cache jamais toutes ses fautes 
On se déguise 
Mais on s’épuise 
 
Fondent les glaces, l’une après l’autre 
Le maquillage coule après l’aube 
On travestit 
Bien trop sa vie 
 
Comment se regarder en face 
Sans se maudire devant la glace 
Quand on n’sait pas rester à sa place 
 
On dort toujours tout seul 
On dort toujours tout seul 
Face à soi même 
On dort toujours tout seul 
On dort toujours tout seul 
Face à soi même 
 
Changer de place, l’un pour l’autre 
S’inventer une vie sur la côte 
On s’émerveille 
De faux soleils 
 
Rester en face, l’un de l’autre 
Tout en cachant qu’on joue un rôle 
C’est rester sourd 
Aux mots d’amour 
 
Comment se regarder en face 
Sans se maudire devant la glace 
Quand on n’sait pas rester à sa place 
 
On dort toujours tout seul 
On dort toujours tout seul 
Face à soi même 
On dort toujours tout seul 
On dort toujours tout seul 
Face à soi même 
 
Face à soi même 
 
 
 
Dans nos souvenirs 
 
 
Lorsque dans mon lit 
Arrivait le soir 
Je les écoutais sans bruit 
Qui racontaient leur histoire 
J’ignorais tout ce mépris 
Que les miens avaient subi 
En silence 
 
Leur douleur 
Le temps ne peut l’effacer 
Pas un pleur 
Ne changera leur passé 
Dans mon cœur 
Tu la trouveras gravée 
Cette souffrance 
 
Et si je t’aime aujourd’hui 
Aussi fort 
Ce que j’ai appris 
Vibre encore 
Avec nos souvenirs 
Sans rien oublier 
Quand on s’aime 
Quand on s’aine 
 
Je n’ai pas compris 
Qu’ils ont effacé 
L’âme de notre pays 
Et de mon peuple blessé 
Mais aujourd’hui j’ai grandi 
Et même si le monde oublie 
Moi j’y pense 
 
Dans mon cœur 
Les racines de l’Orient 
Frères et sœurs 
Orphelins d’un autre temps 
La terre pleure 
Mouillée par le même sang 
De nos souffrances 
 
Et si je t’aime aujourd’hui 
Aussi fort 
Ce que j’ai appris 
Vibre encore 
Avec nos souvenirs 
Sans rien oublier 
Quand on s’aime 
Quand on s’aine 
 
Et si tu m’aimes aujourd’hui  
Tu dois savoir 
Tous ces souvenirs 
Qui coulent en moi 
J’apprendrais à te dire 
Ce qui m’a blessé 
Si tu m’aimes 
Si tu m’aimes 
 
Et si je t’aime aujourd’hui 
Aussi fort 
Ce que j’ai appris 
Vibre encore 
Avec nos souvenirs 
Sans rien oublier 
 
Quand on s’aime 
Quand on s’aine 
 
 
 
Je te retiens 
 
 
J’ai serré tes mains 
Pour graver ces instants 
Porté tes chagrins 
Tes peurs d’enfant 
 
J’ai laissé ces riens 
Oublié les détails 
Si ta vie s’éteint 
Si tu as mal 
 
Je serais tout près 
Où que tes yeux se posent 
L’amour vient nous lier 
Je garde entre mes mains 
Toutes tes peines 
 
Je serais toujours près 
Sur nous je te promets 
Tant que tu tiens ma main 
Tant que tu tiens ma main 
 
Je me fous du temps 
Qu’on veut bien te donner 
Si tu veux rester 
La vie t’attend 
Et chacun des coups 
Que tu as reçu sans pleurer 
S’efface 
 
Si tu n’oublies jamais 
Que partout 
Où que tes yeux se posent 
L’amour vient nous lier 
Je garde entre mes mains 
Toutes tes peines 
 
Je serais toujours près 
Sur nous je te promets 
Tant que tu tiens ma main 
Tant que tu tiens ma main 
Tant que tu tiens ma main 
Je te retiens 
 
Je serais toujours près 
Sur nous je te promets 
Tant que tu tiens ma main 
Je te retiens 
 
Où que tes yeux se posent 
L’amour vient nous lier 
Tant que tu tiens ma main 
 
Je me souviens 
 
J’ai serré tes mains 
Pour chasser le néant 
Porté tes chagrins 
Tes peurs d’enfant 
 
 
 
J'attends 
 
 
 
De la nuit, les secrets 
Qui nous mènent à l’aurore 
De nos plus beaux silences, j’attends 
De la vie, les chemins 
Qui nous rendent plus forts 
Des rendez-vous fuyants, j’attends 
Des envies, des erreurs et des espoirs encore 
De tous vos yeux si grands, j’attends 
Et même quand je m’endors, 
J’espère encore 
 
On peut s’aimer, s’abandonner 
Mais ça n’est jamais suffisant 
On peut rêver, et tout donner 
Quand on sait qu’on a tout son temps 
Pour changer ce monde 
 
Des chagrins de la vie qui se fanent en remords 
Des douleurs en sursis, j’attends 
Du soleil éclatant de mon enfant qui dort 
De mauvais sentiments, j’attends 
Quand la colère me mord 
Parce que l’homme ignore 
Qu’il n’est rien parmi tant, j’attends 
Quand l’amour s’évapore, j’espère encore… 
 
On peut s’aimer, s’abandonner 
Mais ça n’est jamais suffisant 
On peut rêver, et tout donner 
Quand on sait qu’on a tout son temps 
Pour changer ce monde 
 
Des moments de néant, des épreuves du temps, 
Tout ce qu’il y a de beau, je prends 
Je sens partout l’amour, 
Quand se mêlent nos cœurs et nos corps 
De chaque instant, je cherche l’or 
 
On peut s’aimer, s’abandonner 
Mais ça n’est jamais suffisant 
On peut s’aimer, s’abandonner 
Mais ça n’est jamais suffisant 
On peut rêver, et tout donner 
Quand on sait qu’on a tout son temps 
Pour changer ce monde 
 
 
Douce 
 
 
Douces lampes ses yeux, douces lueurs qui veillent 
Sur le cours enchanté des mois et des saisons 
Douces ses mains, sa voix qui me dit des merveilles 
Et douce sa présence au cœur de ma maison. 
 
Douces les nuits d’hiver et douces les averses 
Qui viennent repeupler la terre du jardin 
Douces nos promenades, nos chemins de traverse 
Douces les heures bleues du soir jusqu’au matin. 
 
Doux… doux… doucement 
Malgré le monde et ses tourments 
Tout doux… 
A l’abri du vent… 
 
Douce l’éternité qui coule des fontaines 
Au printemps quand le vent dissipe les brouillards 
Douce la porte ouverte à l’ombre du grand chêne 
Et douce son odeur dans la soie d’un foulard. 
 
Douce la nuit d’été qui bleuit ses paupières 
Et douce sa chaleur endormie dans le noir, 
Douce la certitude amicale des pierres, 
Et l’ombre d’un oiseau sur l’épaule du soir 
 
Doux… doux… doucement 
Malgré le monde et ses tourments 
Tout doux…à l’abri du vent… 
Doux… doucement 
Malgré le monde qui nous ment 
 
Tout doux… à l’abri du temps. 
Doucement… doucement… 
 
 
Quand l'éternité... 
 
 
Comme une illusion qui passe 
Une étoile éphémère 
Laissé juste quelques traces 
D’un passage sur terre 
 
Un peu de nous 
Même si tout s’en va 
Savoir qu’au bout 
Tout ne finit pas 
 
Quand l’éternité 
Change nos vies inachevées 
En amour qui ne meurt jamais 
 
Quand l’éternité 
Viendra sans bruit je te suivrai 
Où rien ne meurt jamais 
 
Comme le ciel qui nous dépasse 
Le temps vient nous défaire 
Si le futur nous efface 
Nos rêves nous éclairent 
Lorsque partout 
On oubliera 
Savoir que tout 
Nous survivra 
 
Quand l’éternité 
Change nos vies inachevées 
En amour qui ne meurt jamais 
Quand l’éternité 
Viendra sans bruit je te suivrai 
Où rien ne meurt jamais 
 
Quand l’éternité 
Change nos vies inachevées 
En amour qui ne meurt jamais 
Quand l’éternité 
Dans l’infini je te promets 
Que rien ne meurt jamais 
 

 

(c) justine joniaux - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 27.06.2007
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